La semaine dernière je me ruait au cinéma pour voir The Impossible. Les films qui font chialer moi j'aime bien ça. Et en ce qui concerne les larmes j'ai pas été déçue du voyage.
L’histoire d’une famille prise dans une des plus terribles catastrophes naturelles récentes. The Impossible raconte comment un couple et leurs enfants en vacances en Thaïlande sont séparés par le tsunami du 26 décembre 2004. Au milieu de centaines de milliers d’autres personnes, ils vont tenter de survivre et de se retrouver. D’après une histoire vraie.
Une histoire vraie. C'est ça le pire. Le truc qui te fait t'effondrer toutes les 5 minutes c'est quand tu te dis que merde quoi, y'a des gens qui vivent ça ! Bref.
J'ai adoré. Les décors sont splendidement bien faits - c'est vraiment un film à voir sur grand écran - et les acteurs sont tout à fait dedans (Ewan McGregor I love you). C'est un film bouleversant certes mais c'est aussi un film dur (j'ai fermé les yeux parfois) et réaliste. Ce qui est sûr c'est que la Thaïlande est désormais tout en baaaas de ma liste de pays à visiter ahah.
Ne retenez qu'une chose : je vous le conseille !
Et même que des fois je lis des livres. Et même que souvent je lis des thrillers ou des histoires de gens séquestrés. Et même que en général je fais des cauchemars. Et même que j'en ai rien à foutre.
La Suède est frappée par une série de meurtres barbares. Seul point commun entre les victimes : leur âge, 44 ans. À première vue, ces personnes ne se connaissaient pas, mais leurs routes se sont pourtant croisées, sur les bancs de l'école, il y a des années de cela... Dans la même classe, il y avait Thomas Karlsson, le souffre-douleur, la tête de Turc de ses petits camarades. Aujourd' hui c'est un homme effacé, asocial, aigri et... toujours en vie. Le coupable idéal, en somme. Sans compter qu'il a été repéré rôdant à proximité du domicile des victimes. Et, c'est vrai, Thomas nourrit encore de la rancune, beaucoup de rancune même, à l'encontre de ses anciens tortionnaires, seulement il se défend de les avoir tués. Ce n'est pas lui, ça il le jure !Vraiment ? Pourtant ils t'ont tous roué de coups, humilié, insulté, tyrannisé... Ils ont brisé ta vie. Alors si ce n'est pas toi, qui ? Qui avait un meilleur mobile pour les assassiner ?
J'AIME. J'aime être persuadée d'avoir cerné le psychopathe et, juste à la fin du livre, être chamboulée parce que non meuf, ce n'est pas celui que tu crois. Mouahah, j'adore. Le kiff.
Le seul truc qui me gêne parfois c'est de suivre plusieurs personnages : à chaque chapitre un point de vue. Généralement ça m'énerve mais là l'histoire est tellement cool que ça m'est passé au dessus. Et puis y'a pas les points de vue de 15 personnages non plus hein.
Y'a des amatrices de polars / thrillers par ici ? N'hésitez pas à me donner des titres de livre ! :)
( en fait les deux derniers, parce qu'ils sont aussi cool l'un que l'autre ♥ )
Le Jardin de Berthe (Lyon - Ampère)
C'est la troisième fois que j'y vais cette année et je suis fan de ce resto pour plein de raisons :
- Ils sont spécialisés en ravioles et salades = ils s'y connaissent plus que bien
- Quand on entre on passe devant les cuisines et on voit que ça y bosse dur
- La salle est dans une cave, c'est hyper mignon
- Leurs prix sont carrément abordables - surtout le midi
- Leurs plats sont bons et la quantité est là (impossible de finir ma salade à chaque fois *__*)
- Leur île flottant bat tous les records niveau taille héhé
- Il y a moins 15% pour les étudiants du lundi au jeudi
Best I Ever Had (Lyon - Cordelier)
Quand la jolie
Chroniques de B. me propose de manger un bout en ville un vendredi midi, forcément, je saute sur l'occasion : BIEH c'est tout le temps pris d'assaut, la semaine c'est le meilleur plan !
La déco est vraiment sympa, très américaine et, même si ce n'est pas un diner à proprement parlé, l'ambiance me plaît. Les prix ne sont pas franchement donnés mais Bérénice et moi on prend toutes les deux le menu étudiant à 11 euros qui comprend un burger / frites et une boisson. La qualité est là : les frites sont comme à la maison et le burger est servi ouvert - ils trichent pas sur les aliments EUX.
On a le bide explosé quand on sort, plus de place pour un cupcake, mince alors. Quand est-ce qu'on y retourne ?
IZIA.
Je ne connaissais que son tube Let Me Alone mais quand j'ai eu la chance de peut-être gagner des places pour son concert (dans ma petite commune de banlieue \o/) j'ai sauté sur l'occasion. Et j'ai gagné hiiii. Donc j'y suis allée avec ma maman et je ne regrette pas une seule seconde. Le concert était extra - si on oublie l'incident du mec qui voulait se fighter et la fanatique folle qui me criait dans les oreilles tout son amour pour Izia - et je n'ai pas vu passer les 2h de show ! Cette fille a une classe folle, elle est canon et a une assurance de dingue quoi. Elle est vraiment unique et c'était un réel plaisir de la voir dans une petite salle comme ça. Elle m'a clairement vendu du rêve.
Merci Izia, je te souhaite d'avoir encore une longue carrière. (et si tu ne mets plus les fringues que tu portais le 28 novembre, pense à moi... !!)
FABIAN CIRAOLO
Gros coup de coeur pour cet illustrateur chilien " à l’univers foisonnant, habité d’une faune pop et d’une flore féérique. Ses vignettes se situent dans un hors-temps de textures psychédéliques et de couleurs irisées rappelant certaines pochettes de vinyle vintage des sixties. Il représente de grandes figures de la culture populaire (le Che, Salvador Dalí, Cléopatre, Frida Kahlo…) en les transportant dans une époque déplacée, plus rock et électro. Le Che est ainsi affublé d’un blouson de cuir très 80′s. Et Frida Kahlo est fan de Daft Punk; le contemporain se fond dans l’ancien, et l’historique dans le dessin animé, comme dans la lampe à cire d’un hippie sous LSD. Toutes ces évocations visuelles et musicales, artistiques, cinématographiques et télévisuelles se meuvent dans ces créations composites et kitsch. Elles sont la figuration du panthéon, mêlé et intime, de l’artiste. "